mercredi 26 septembre 2007

Parce que ... pause pub...


Batlik, acoustique, créatif, hors des sentiers déjà trop battus...

A (re)découvrir en concert à l'Européen samedi 13 octobre à 20h.



Et puis promo en doublon parce qu'il le vaut bien et que mes pumas y seront certainement :


mardi 25 septembre 2007

Parce que ... j'hésite encore...



Après celui ci, que j'ai trouvé excellent, chez un ami (enfin, il hésite encore sur son statut officieux/ciel), mais que je n'ai pas acheté, parce que, faut pas exagérer, y'a encore un petit de chemin avant d'en être là :



Je suis tombée sur celui ci ce midi, chez mon marchand de journaux détesté (pas aimable, pas un sourire, toussa toussa...), j'ai hésité un long moment à le prendre, parce que, franchement, là, on en est pas loin (aussi bien lui que moi, peut être même plus lui que moi, quoique non, autant lui que moi... hein ?!) !!!!!!! :

Je crois que la date de son anniversaire approche, je vais aller faire un pillage ce soir... Qui qui en veux un ...?

lundi 24 septembre 2007

Parce que ... la tête dans les chaussettes...

Je suis complètement à coté de mes puma…

Je n’y suis pas, je n’y suis pas encore…

Pourtant, tout me prouve le contraire, les piles chahutées sur mon bureau, le bureau lui-même, les collègues, le café imbuvable… Tout, mais non…

J’ai l’impression d’avoir quitter ce cocon y’a des mois entiers alors que ça ne fait qu’une semaine…

Je n’y suis pas du tout…

Je n’ai qu’à peine la tête dans ce qui s’est passé les deux semaines passées un peu plus dans ce qui va avoir lieu dans les suivantes…

Et pourtant là, c’est la ligne droite… lancement, relance, suivi, anticipation, concertation, bouclage… euh… demain.

Même cette put*** de note, je n’arrive pas à la pondre…

Je suis dans ma bulle, avec à peine assez d’air. Je vois vaguement ce qui m’entoure, j’ai envie d’être ailleurs, mais je ne sais même pas où. Je ne suis pas mal, je suis tellement à coté de mes pompes que je ne suis même pas mal… J’ai même le sourire, certes un peu mécanique, mais sourire quand même…

Je pense à rien, à tout en même temps…

Je me disais hier que pour une fois, tout suit un peu près bien son cours, que ça semble un peu canalisé de droite et de gauche, que le prise de recul est suffisante pour ne pas se prendre un mur en pleine face (quoique), que les enchaînements se font plutôt en douceur compte tenu du rythme (quoique), que pour une fois, il ne semblait pas y avoir de grain de sable pour bousculer mon planning…

C’est étrange… ça cache quelque chose…

Murphy, tu es où… ? Enfin, attends demain pour te montrer, s’il te plaît, merci.

vendredi 21 septembre 2007

Parce que ... je ne sais plus où j'habite...

1- Les médias contribuent il au débat démocratique
2- Les discriminations à l'embauche
3- La culture est elle un produit de consommation ordinaire
4- L'avenir de l'intercommunalité...

Sinon,

enduit,
ponçage,
peinture,
enduit,
ponçage,
peinture...
nettoyage...


Bonne nuit...

mardi 18 septembre 2007

Parce que... j'aime me faire mal !!!

1- La sécurité alimentaire en France et en Europe.

2- La faute dans la responsablilité administrative.

3- L'inégale dynamisne démographique des villes françaises.


Euh... puffffffff

vendredi 14 septembre 2007

Parce que... Adrian m'a taggé !

1er tag, par Adrian... réponse pas très réactive... mais la voilà...


Last book I bought

Les amants du n’importe quoi de Florian ZELLER

Book I'm reading

Même réponse, pour une fois, je l’ai commencé juste après l’avoir acheté

3 books that mean a lot to me

La pluie jaune de Julio Llamazares. Lu dans les Pyrénées ariégeoises juste après une escapade dans les Pyrénées aragonaises… triste, les larmes aux yeux, je crois qu’il y a peu de livres qui m’ont fait ressentir autant d’émotion… (avec ensemble c’est tous mais je crois que cela a déjà été dit !)

Luis Sepulveda : Le Vieux qui lisait des romans d'amour, Le Monde du bout du monde, Histoire d'une mouette et du chat qui lui apprit à voler, Journal d'un tueur sentimental. Loin de l’intégrale, mais toujours un bonheur de rentrer dans ces histoires…

Les chroniques de San Fransico - Armistead Maupin : plus parce que j’ai partagé cette lecture avec lui que pour l’histoire elle-même…

Last film I saw

Je n’en sais rien du tout ! J’ai une mémoire de cacahouète, particulièrement en ce moment et comme je ne suis pas très cinéphile…

Au ciné, ça devait être un truc bien nul, mais il ne nous en fallait pas plus, Tel père Telle fille… Retour du duo Elbaz/Boucher depuis le Péril Jeune… Rien à voir, absolument pas aussi culte que ce dernier.

3 films that mean a lot to me

21 Grams, Broken Flowers, Memento et d’autres aussi… Cela sont ceux qui me sont venus à l’esprit en lisant la question.

Last CD I bought

Batlik - Juste à coté, en attendant d’aller attraper le dernier, Utilité au Zic Zinc


Song currently playing

In Time – Zero 7

Songs that mean a lot to me

Toutes, beaucoup, des masses, des wagons entiers…

Mais, il y en a une qui reste, toujours, qui revient de temps en temps : Bertignac – Ces idées là.

Favorite drink

Mojito

Favorite charity

Don du sang

Favorite vacation
















Favorite vice

Tout dépend de la définition du vice… (merci TV5)

Imperfection physique ou morale : pas plus que la moyenne…

Disposition habituelle au mal : habituelle, non, disposition, sûrement !

Défaut, imperfection : des tonnes… comme tout le monde

Libertinage, penchant excessif pour certaines pratiques : pourquoi, pas vous ?


People I'd like to see answer the survey

Euh… ça, c’est la colle…

Rocket, si elle repasse par ici un jour…


jeudi 13 septembre 2007

Parce que... ce n'est que le début !

1- Du prêt des édifices religieux au retour d'une oeuvre d'art volée dans une église en 1924 en passant par la donation de Madame Bidule...

2- Les interventions économiques et sociales des collectivités territoriales.

3- Paysages ruraux et agriculture.

A l'année prochaine !

mardi 11 septembre 2007

Parce que ... c(s)(m)es phrases...?

Je dois être en pleine dépression, mais j'ai une grande forme

(Pas mieux, même conclusion... même guérison, placebo ...?)


Jalousie...


Trop bien écrit

Toi, parfois non...

Exotique

(C'était un refus ...?)


(Je vais essayer de ne pas me censurer, maintenant que je sais que tu sais...)

Et tu n'es pas dispensé de commentaires...

En plus, n'oublies pas, tu avais un texte à écrire... un jour, tu avais promis...

Oublies

lundi 10 septembre 2007

Parce que ... Montréal...

On s'est dit adieu

Sans rien se promettre

Au revoir est un vœu

Trop plein de peut-être.

On s'est séparés

Devant une vitrine

Toute illuminée

De la rue Ste Catherine


Perdu rue Rachel

J'ai dû marcher trop

Faut que je me rappelle

Où je prends mon métro

Les rues les quartiers

Je les connais à peine

Je fume des dumorier

Que depuis une semaine


Je suis mêlé, je m'emmêle les pédales

Je suis tout mêlé dans les rues de Montréal


Je passe chez un pote

Station St Laurent

Lui et sa gang fument du pot

Sans perdre leur accent

Et la souveraineté

Entre souverainistes

C'est un sujet qu'est discuté

Neuf fois sur dix

Pendant qu'ils refont l'histoire

Des referendums

Je tire sur le pétard

Que me tend un tchum

Ca me gèle la face

Faut que je bouge d'ici

J'ai plus que le goût de sucer de la glace

En Abitibi


Je suis mêlé, je m'emmêle les pédales

Je suis tout mêlé dans les rues de Montréal


D'habitude j'aime bien l'hiver

Je trouve ça beau quand tout est blanc

Quand y a de la neige partout par terre

Et qu'on s'enfonce en marchant dedans

Mais là j'avoue je suis tanné

Sur le Mont Royal y avait plein de monde

Au pied de la stèle de Jacques Cartier

Personne m'a vu pleurer ma blonde


Je suis mêlé, je m'emmêle les pédales

Je suis tout mêlé dans les rues de Montréal (bis)


Olivier et Frédéric VOLOVITCH

Parce que ... lecture fortement déconseillée!

Je suis inquiète, inquiète.
J'ai peur de ce que je viens de lire et des sentiments que cela fait naître en moi. Intrigue et peur.
Je retiendrai les mots suivants : Amour, abandon, douleur, peur, perte et perdition.
J'ai peur de vous, toujours. De ce que vous faites de moi, de là où je serai prête à aller pour vous.
Mais pourquoi ? Pas d'amour, pas par amour, pour vous. Pour moi alors ? Pour me perdre un peu plus ? Douter et souffrir encore ? Jusqu'à l'humiliation ?
Pourquoi ? Pour rien... même pas l'amour.
Juste une tendresse volée, des mots qui me paraissent soudain si apprivoisés, si maîtrisés. Vous les connaissez, vous les savez parfaitement, les utilisez juste à vos fins ... Je ne sais pas. J'ai peur de moi avec vous, de vous sur moi. N !

...

Excès, crainte.
Je reste dans ma bulle. Musique dans les oreilles, le coeur aux bords des lèvres. Je ne sais pas si c'est le coeur ou la peur. Je suis vaseuse, mal, dans un état étrange. J'ai peur de l'excès. J'ai peur de la perte de repères, de la destruction. De la perte tout court. J'ai peur, très, plus que de la crainte. Je ne sais pas. J'ai les yeux qui ne savent pas s'ils doivent pleurer ou rire. Sentiment étrange. Je me sens seule avec mon peu de mots. J'ai l'impression que sur ces nouveaux sentiments, il faut que j'invente des mots pour les décrire. Je ne trouve pas la retranscription de mes états dans ceux que je connais habituellement. J'ai peur quand je lis ce livre et que je ressens la perte de contrôle dans cette histoire, de l'un et de l'autre, mais surtout de l'une. Mais je me sens également rassurée quand je vois votre visage devant mes yeux. Alors que c'est vous qui me faites jaillir ces peurs/ craintes en moi. Elles sont liées à vous.
Le stylo n'écrit pas assez vite, très mal. Je n'arriverai jamais à me relire!
Mais ces sentiments sont si fulgurants que je ne veux pas en perdre une miette. Ils passent, reviennent, d'une autre force, jamais identique et pourtant si similaire.
J'ai la sensation que dans ce RER, mon mal être, mes doutes se voient aux yeux de tous comme pourrait se voir mon appartenance (future ? déjà actuelle ?) à vous, à vos mains.
Je doute de vous malgré la confiance offerte, acquise. Je doute de moi. Est ce vraiment vous qui me faites envie de ces envies, de ces jeux ou est ce moi qui les délivre, trop enfouies en moi si longtemps qu'elles m'échappent, offertes elles aussi au quasi premier venu ?

Mon "chez moi" approche, depuis quelques minutes, je rêve de refermer à jamais cette porte derrière moi et de ne plus en sortir. Fermer la boite de Pandore a peine ouverte ou m'enfermer pour mieux vous attendre?

Je perds déjà les pédales. Je suis en manque de vous, de vos mots, de vos gestes, de votre odeur, de cette puissance, de votre présence. Alors que je refuse l'idée d'appartenir à quelqu'un, je me sens déjà prisonnière de vous.

Et cet homme qui me parle, il ne peut pas comprendre, il me demande son chemin. Je marche vite, je cours presque. Est ce pour arriver plus vite aux toilettes ou est pour me retrouver plus vite face à cette boite mail si pleine de vous mais si vide d'instantané.

vendredi 7 septembre 2007

Parce que ... c'est beau une ville, la nuit...


mercredi 5 septembre 2007

Parce que... la peur du vide…

J'ai régulièrement ce petit frisson dans le creux du ventre en ce moment.

Il est étrange, différent, pas habituel…

Il est comme moi, il hésite.

Il hésite entre la peur, l'angoisse, le stress mais aussi la joie, le bonheur, la douceur.


Il y a une effervescence autour de moi en ce moment que je ne maîtrise pas.

Je devrais même dire, pour être plus exacte, qu'il y a une effervescence dans ma vie à moi que j'ai toute seule que je ne maîtrise pas.

Il y a plein de mouvements, plein d'événements, plein de bouleversements ces derniers temps

Je les regarde, je les admire, je les trouve chouettes, je les trouve intéressants

Mais je n'ai pas l'impression de les vivre…


Entre les cartons qui ne sont pas vraiment les miens, les peintures et l'aménagement pour ce qui ne sera pas vraiment chez moi, entre les douceurs qui ne sont pas vraiment pour moi, les instants de plaisir quasiment volés, entre les cours qui ne sont pas vraiment ma vie mais qui prennent quand même de la place… tout ça, ça se passe, et je le vois, je le sais mais je n'en profite pas assez…

Et là, tout de suite maintenant, le seul que je pensais vraiment vivre, celui qui me faisait très plaisir, envie, vient de tomber à l'eau...

Fuck © EPP


mardi 4 septembre 2007

Parce que ... Je grogne donc je suis !

Ca y est… c'est officiel… C'est la rentrée

Déjà la semaine dernière, y'avait comme un petit air de retour dans les couloirs…

Mais ça allait encore, des collègues sympas, des fumeurs, des gourmands… retour aux habitudes tranquillement, des qui savent que, toi, t'es encore pas partie, à part le week end du 15 août… sous la flotte…

(Non, je ne suis pas jalouse, juste crevée)

Mais là, aujourd'hui, c'est mort… Le troupeau des « jusqu'au dernier moment » est rentré !

Je vais tous les tuer, l'un après l'autre…

Ca fait deux heures qu'ils sont arrivés, ils n'ont encore pas allumé leurs ordi, ont fait le tour des bureaux, sans oublier le mien (fais c…), ont raconté de long en large leurs surper-méga-top-vacances-en-camping-chez-l'habitant-dans-la-belle-famille-sous-la-flotte-mais-pas-autant-que-vous-ici-on-a-fait-des-UV-pour-vous-faire-croire-qu'on-a-eu-du-soleil etc. etc.

(Non, je ne suis pas jalouse, juste pas eu assez de soleil !!)

Et la cerise sur le gâteau, c'est l'autre là… Mains rêches, baveux, toujours un truc à dire et à te le crier dans les oreilles !

On vient de la même province… Alors il se sent obligé de m'en parler à chaque fois que l'on se croise, depuis 3 ans, alors que nos bureaux sont séparés par le couloir… Vous imaginez le nombre de fois que cela fait ?

Ce matin, je crois que j'ai oublié toutes les règles de bonnes manières (juste ce matin ?), j'ai entendu sa voix au bout du couloir, j'ai pas levé la tête de mes stats, continuer mon étude, même quand il a franchi d'un pas énergique la porte de mon espace vital… J'ai juste répondu bonjour, il a continué à parler tout seul 5 minutes… moi toujours la tête baissée… il est parti en grognant… Peut être qu'il va me faire la tête pendant six mois… Purée si ça pouvait être plus !!!

Oui, le matin, je suis pas polie, pas aimable, pas sympa, la tête dans l'oreiller jusqu'au 4eme café/clope, le sourire coincé en mode « je mords »…

Oui, je déteste les rentrées, les retours, les faux blabla puants de d'hypocrisie, des arrondis parce qu'il fait entretenir des bonnes relations pour pouvoir espérer obtenir deux/trois éléments d'information dans l'année…

Oui je déteste tous les cons qui m'entourent, non je ne suis pas mieux qu'eux (surtout en ce moment) mais ce n'est pas la peine de me le rappeler…

Oui, je ne suis encore pas partie en vacances et ce n'est que de ma faute, oui oui, je sais, j'avais qu'à dire « non non »… Et zut ! Je viens de me faire griller pour jeudi soir aussi... Grrr


Oui je suis mal lunée ce matin et alors !!!


Vivement que je me casse !!!