mercredi 28 octobre 2009

Parce que ... ...


Cherche bonne âme pour aller voir la mer...

dimanche 25 octobre 2009

Parce que ... la liste ...

Hurler, boire, crier, exploser, casser la voix, péter un plomb, trouver une réalité différente, arrêter de rêver, espérer toujours mieux mais ne rien faire pour...
Poser les valises, trouver un lieu, le partager, avoir une vie comme tous le monde, arrêter de se poser des questions, rêver, espérer,
Trouver, chercher la trace, la réparer, arrêter de croire à la lune, voir le jour sous un meilleur jour, vivre plus, arrêter de jouer, se brûler les ailes quitte à jouer,
Arrêter d'avoir tant mal aux tripes pour du si bidon, ne pas croire les autres, écouter les vrais, voir ce qui entoure, rattraper le temps perdu, courir,
Ne pas avoir confiance, avoir des certitudes, y croire, ne pas être déçue,
Mettre les pieds dans le plat plutôt que de sombrer un peu plus, plaquer tout, partir, loin, pas mieux mais ailleurs, idéaliser l'herbe verte ...
Prendre le taureau par les cornes et faire tout exploser ...

jeudi 9 juillet 2009

Parce que ... For what it's worth...

The end of the century, I said my goodbyes
For what it’s worth,
I always aimed to please, but I nearly died
For what it’s worth,
Come on lay with me, ‘cause I’m on fire
For what it’s worth,
I tear the Sun in three to light up your eyes

For what it’s worth

Broke up the family, everybody cried
For what it’s worth
I have a slow disease, that sucked me dry
For what it’s worth
Come on walk with me, into the rising tide
For what it’s worth
Fill the cavity, your god-shaped hole tonight

For what it’s worth

No one cares when you're out on the street
Picking up pieces to make ends meet
No one cares when you’re down in the gutter
Got no friends, got no lover

Got no lover
For what it’s worth

Got no friends, got no lover




vendredi 12 juin 2009

Parce que ... Avant ...

Quand je suis arrivée à Paris, et même après, je passais la porte d'Italie le vendredi soir pour sortir, boire un verre, voir un film, retrouver des amis, rencontrer des gens...
Aujourd'hui, j'ai passé la porte d'Italie dans l'autre sens, les larmes aux yeux, pour rentrer chez moi...

vendredi 5 juin 2009

Parce que ... Tout va bien...

Je viens de relire un peu de ces notes, fin 2007, mi 2008.
Je me dis que je devrais écrire plus souvent,
Cela remplace ma mémoire, mon absence de repères.
Cela me permet d'observer comment on évolue, et depuis quand...

Sauf que je constate avec effroi que ça n'évolue pas, plus...
Voir que ça n'a jamais évolué...

Le côte-à-côte existe depuis toujours entre nous
Il est encore là aujourd'hui, presque plus que jamais...
Ce que je croyais avoir daté de la fin de l'année 2008, était déjà présent bien avant.
Et a priori, cela ne va pas changer de si tôt...

Je me pose toujours les mêmes questions, j'ai toujours les mêmes attentes,
Je me sens toujours de moins en moins incluse,
Je ne sais toujours pas quelle direction tout cela prend,
J'attends toujours que tu prennes les devants, puisque c'est toujours toi qui a le plus de cartes et de données en main,
Je me sens toujours aussi loin d'un idéal, pas très clair certes, mais assez différent d'aujourd'hui,
Je me sens toujours seule face à mes doutes, mes peurs, mes craintes et mes faiblesses...

La seule chose qui change aujourd'hui, c'est que ça me met les tripes en vrac... c'est une certitude
Mais je ne crois pas que cela soit pour les mêmes raisons...
J'ai l'impression d'être de plus en plus froide face à cet avenir improbable à tes cotés,
Que le regret sera juste le temps passé pour m'en rendre compte,
Et non plus la recherche de ce qu'il aurai pu être...


A part ça, tout va bien ...

dimanche 17 mai 2009

Parce que ... Toujours pas mieux ...

Vu, quelqu'un que je n'avais pas croisé depuis longtemps...
Pas très proche, pas de cette vie là...
J'y ai pensé, avant, pendant, lancé des perches...
Pas été capable d'en parler, pas un mot, pas une parole...
Comme ci cela allait me permettre rendre cette vérité virtuelle, inexistante...
Le peu que j'en parle, ailleurs, à ceux qui savent, cela leur renvoit leur propre réalité, leur propre peur...
Une espèce de gène entre les mots, pas envie d'aller plus loin... Ni eux, ni moi.

Refus toujours, encore et encore...
Je ne veux/peux pas l'accepter, même si cela fait parti de mon quotidien...
Quotidien...
Les yeux rougissent, encore et toujours quand j'y pense...
Longtemps encore je crois, j'ai peur...

Un cauchemar les yeux ouverts, et le reste qui gravite autour, et qui devient presque sans importance...

mardi 20 janvier 2009

Parce que ... Indeterminée....

Entre la théorie des crêpes au plafond et celle du bocal à poisson, j'hésite encore.