vendredi 29 avril 2011

Parce que ... Collapse/Collide

Too late
They hate
Too late
They hate
You've jaded
They've faded
From your heart
They've ripped
Our worlds collide
Inside our souls collapsing
In their thoughtless ways
Our hearts collide
They're correcting
They correct my heart
They're rejecting
They reject our hearts
Now we're all stoned
They've ripped it all apart
Collapse, collide
They're correcting
They correct my heart
They're rejecting
They're rejecting
They're rejecting
They reject our hearts
Now we're all stoned
They've ripped it all apart
Collapse, collide
Our hearts collide

Archive - Controlling Crowds

vendredi 22 avril 2011

Parce que ... bis...

Reprendre le fil
Retrouver une logique
Repartir sur de nouvelles bases
Refaire le chemin
Renouer doucement... Sûrement
Re, re...

jeudi 28 octobre 2010

Parce que ... Ou pas...

Il y a des jours où l'on dit à sa meilleure amie que l'on a jamais été aussi bien.
On y croit en le disant.
Puis, il y a des jours, pas très longtemps après, où l'on se rend compte, que non, en fait.
Que la vie est souvent une pourriture qu'il faut subir.
Que les larmes coulent, que l'on milite depuis des années pour cette différence,
mais qu'au fond, on est tous obliger de rêver de la même chose.
La différence rend seul, triste, isole de reste du monde...
Elle ronge, elle gagnera... ou pas.

jeudi 21 octobre 2010

Parce que ... Enjoy The Ride

Shut the gates and sunset
After that you can't get out
You can see the bigger picture
Find out what it’s all about
You're open to the skyline
You won't want to go back home
In a garden full of angels
You will never be alone

But oh the road is long

The stones that you are walking on
Have gone

With the moonlight to guide you

Feel the joy of being alive
The day that you stop running
Is the day that you arrive

And the night that you got locked in

Was the time to decide
Stop chasing shadows
Just enjoy the ride

If you close the door to your house

Don't let anybody in
It's a room that's full of nothing
All that underneath your skin
Face against the window
You can't watch it fade to grey
And you'll never catch the fickle wind
If you choose to stay

But oh the road is long

The stones that you are walking on
Have gone

With the moonlight to guide you

Feel the joy of being alive
The day that you stop running
Is the day that you arrive

And the night that you got locked in

Was the time to decide
Stop chasing shadows
Just enjoy the ride

Stop chasing shadows

Just enjoy the ride

Morcheeba.

jeudi 7 octobre 2010

Parce que ... Dans quel sens ...?

Ça part un peu dans tous les sens, en ce moment, comme toujours.

Plusieurs fois que j'écris quelques mots, que je ne poste pas. Et que je le regrette...
Je me demande si je vais rester ici, en même temps, je ne crois pas que l'herbe est plus verte ailleurs.
Je me demande quoi faire de ce truc, qui est là depuis 3 ans maintenant.
Il retrace tout ça et le reste.
Mais quand je relis ces mo(aux)ts, j'ai envie ... je crois.

Alors en vrac, ce qui n'a pas été publié... juste pour la mémoire.
Je ne suis pas certaine d'avoir tout retrouvé, ceux là au moins resteront.



Aujourd'hui...

"... l’espace de quelques semaines, éviter d’avoir un quotidien vraiment minable, le genre de quotidien en attente d’un mieux qui n’arrive que par bouts médiocres et frustrants...."

Petite phrase piquée ailleurs *, que j'aurai pu écrire, que j'aurai du écrire, que j'écrirai sûrement...
Ce n'est pas l'état d'esprit du moment, du moins pas aussi tranché, pas le même contexte, etc.
Ce n'est pas pour cela que ça ne résonne pas ...



23 août 2010

Un jour ... il faudrait que j'arrête d'attendre que quelque chose arrive sur cette boite mail,
Un jour, il faudrait que j'arrête de croire les paroles d'inconnus,
Un jour, il faudrait que je pense à entrer dans ce monde étrange que l'on appelle l'adultie,
Un jour, il faudrait que je prenne ma vie en main,
Un jour, il faudrait que j'arrête de laisser les autres faire, ils ne font pas mieux,
Un jour, il faudrait que je dise à ma mère qu'elle me saoule, qu'elle est chiante, que c'est un peu tard pour rattraper tout le temps qu'elle ne m'a pas donné,
Un jour, il faudrait que j'expulse tout ça, lui dire, à lui que je déteste son absence, qu'elle est plus que cruelle, qu'il n'avait pas le droit,
Un jour, il faudrait que je change ce canapé, inconfortable au possible et qui ne doit pas contribuer à arranger mon dos,
Un jour, il faudrait que je lui dise qu'il me manque, que la vie est longue sans lui,
Un jour, il faudrait que je lui dise aussi, qu'il n'avait ni le droit de partir comme ça, ni le droit de prendre d'autres avec lui,
Un jour, il faudrait que j'aille voir de plus près son pays des licornes, à elle, la petite puce,
Un jour, il faudrait que j'affronte réellement le regard vide de ma sœur,
Un jour, il faudrait que je comprenne que c'est réellement fini, que je me retrouverai pas ses traits dans sa jumelle,
Un jour, il faudrait que j'accepte leurs absences à tous les deux,
Un jour, il faudrait que je prenne 5 minutes pour dire à la vie que parfois/souvent c'est une grosse raclure,
Un jour, il faudrait que j'en prenne 5 autres pour lui dire que ça continue quand même, qu'elle ne me fait pas si peur et que j'en ris parfois, de la voir comme ça,
Un jour, il faudrait que j'arrête de considérer cette ville comme une étrangère, alors que je la connais si bien, que je ne fait pas qu'y passer
Un jour, il faudrait que je fasse un peu quelque chose pour ce mur, qui tombe en ruine et dont je me fous royalement,
Un jour, il faudrait que je change ses plaques immatriculation, ça fait tellement longtemps que je ne suis plus de là bas,
Un jour, il faudrait que j'arrive à me sentir de quelque part et que j'arrête de ne pas me poser, alors que je le suis,
Un jour, il faudrait que j'arrange ce coin, là, histoire que ça arrête un peu de se casser la figure dès que je cherche un truc,
Un jour, il faudrait faire tout ça,
Un jour, ou plusieurs, une vie ... ou pas,
Un jour, mais pas aujourd'hui...



19 août 2010

Je ne me pose, enfin, plus les mêmes questions...
Aujourd'hui, je passe les jours sans trop m'en poser.
Regarder derrière, les 24 derniers mois, me posent toujours autant de problème.
Parfois, je me demande ce que je faisais l'été dernier, me disant que comme cette année et les années passées, je n'avais pas réellement profité de Paris esseulé.
Sauf que quand je me souviens de ce que j'ai fait l'été dernier, les larmes pointent le bout de leur nez...
Pas guérie, pas posée, pas réfléchie...

Je passe les jours... En attendant que tout s'arrange... que tout passe, que rien ne fasse mal...
Qu'un truc-bidule tombe, tout cuit, du ciel... ou de la terre... enfin, de là ou de là, peu importe au final.
Mais surtout, tout cuit!




vendredi 21 mai 2010

Parce que ... ...

Le sourire qui s'allume
Le regard qui s'embrume
Et tu t'en vas danser au ciel

Tu m'apaises Tu me mens
Puis tu glisse doucement
Vers le plus beau des sommeils

Dors mon ange
Dans l'éternelle candeur
Dors mon ange
Le ciel est ta demeure
Vole mon ange
La vie est plus douce ailleurs

Dors, dors, dors, mon ange dors,
Les cloches sonnent l'Angélus
Vole, vole, vole,
C'est mon enfance qui s'envole
Ce sont mes rêves que l'on viole

Je suis un funambule
Suspendue dans la brume
Je marche sur le fil de tes pas

Je titube, je bascule
Et je plonge dans l'écume
Des jours qui me parlent de toi.

Dors mon ange
Dans l'éternelle candeur
Dors mon ange
Le ciel est ta demeure
Vole mon ange
Le temps pansera ma douleur.

mardi 23 février 2010

Parceque ... Flottements...

J'ai l'impression d'être suspendue dans les airs, par de petits bouts de fils et qu'ils vont de déchirer au fur et à mesure de la semaine.

Un premier aujourd'hui,
Un second demain,
Je n'ose même pas regarder plus loin...

Tout est en attente, comme un zombie, je m'occupe tant bien que mal.

La boule au ventre remonte à la gorge, la tension doit frôler des niveaux pas très raisonnables et le palpitant va bien trop vite !

Je déteste ces marques physiques de l'anxiété, de l'attente, de ....